Cet atelier d’une journée offre aux dirigeants, aux responsables de la mise en œuvre et aux clients du secteur numérique une occasion unique d’apprendre comment combiner la pensée systèmes, la pensée Lean et les principes Agile pour répondre aux exigences des clients plus rapidement et avec moins d’efforts.
Cet atelier aborde plusieurs défis communs :
- Il y a un consensus émergent sur le fait que de nombreux projets numériques sont trop grands, trop ambitieux et trop complexes pour réussir, ce qui conduit à une incapacité à fournir les résultats opérationnels souhaités;
- Les problèmes que le système doit résoudre sont souvent peu clairs, tant pour le client que pour les développeurs, et sont souvent fondés sur une approche de type « liste de souhaits » plutôt que sur une approche ciblée de résolution des problèmes opérationnels – ce qui entraîne plus d’exigences que ce qui est réellement nécessaire. Dans de nombreux systèmes, jusqu’à 50 % des fonctionnalités sont développées, payées et maintenues, mais jamais utilisées.
- L’automatisation s’applique très différemment au travail algorithmique par opposition au travail heuristique. Cette distinction est mal comprise, ce qui se traduit par des solutions numériques qui tentent de résoudre des problèmes qui ne peuvent être résolus que par le client lui-même, par l’amélioration des processus, des mentalités et des comportements. Autrement dit, de nombreuses initiatives ne permettent pas de cerner correctement les problèmes qui ne peuvent être résolus que par le dirigeant principal de l’information (DPI) par rapport à ceux qui ne peuvent être résolus que par le chef de l’exploitation, et les problèmes opérationnels ne sont donc pas résolus.
En explorant ces questions au moyen d’exercices interactifs, les participants peuvent améliorer leur approche de la résolution des problèmes à l’aide de la technologie et prendre de meilleures décisions en matière d’investissement dans le développement de systèmes. Il en résulte moins de logiciels, mais des logiciels qui résolvent les bons problèmes, ce qui ravit les clients et libère les capacités informatiques pour qu’elles puissent fournir plus de valeur.